Perspectives du marché pour 2025 : comment naviguer entre des scénarios haussiers, baissiers et de base
L’année 2025 rehaussera-t-elle l’éclat du marché, ou entamera-t-elle une baisse qui plongera les rendements des épargnants dans les abysses? Nous présentons trois scénarios possibles.
Comment chercher la clarté dans l’incertitude
Le paysage économique et financier mondial est influencé par de nombreux facteurs, notamment les événements géopolitiques, la politique monétaire et les attentes du marché. Pour aider les épargnants à naviguer dans cet environnement, nous avons décidé d’examiner trois scénarios potentiels, un scénario haussier, un scénario baissier et un scénario de base, et d’estimer pour chacun d’eux la probabilité qu’il se réalise.
Notre objectif est simple : aider les épargnants à mieux comprendre le contexte d’investissement qui pourrait survenir dans 12 prochains mois, et à construire un portefeuille parfaitement adapté à leurs objectifs.
1 Le scénario baissier
Selon nous, il est peu probable que nous entrions dans un marché baissier en 2025, et c’est pourquoi nous estimons qu’il n’y a que 15 % de probabilité que ce scénario se réalise dans l’année à venir.
Hypothèses du scénario
Dans un tel scénario, nous pouvons nous attendre à ce que les actions mondiales connaissent des baisses significatives, à mesure que les facteurs économiques, politiques et financiers se combinent pour créer une incertitude généralisée, qui réduira en fin de compte la rentabilité des entreprises.
Indice d'incertitude de la politique économique mondiale
De même, le paysage économique mondial devrait se détériorer, avec un repli des indices des directeurs d’achat (PMI) des secteurs manufacturiers et des services en dessous de la barre des 50 points. Les grandes économies mondiales pourraient également tomber dans une période prolongée de stagflation, caractérisée par une croissance au ralenti et une hausse du chômage auxquelles s’ajoute de l’inflation. Ces conditions augmenteraient la probabilité d’une récession mondiale.
La probabilité d’un scénario baissier dépendra également de la possibilité d’un déclin du libre-échange. Si les principales nations commerçantes appliquent largement des politiques de barrières tarifaires, l’inflation pourrait devenir un problème encore plus sérieux que la variante persistante qui a donné du fil à retordre aux décideurs politiques au cours de l’année passée. Les banques centrales pourraient également se retrouver contraintes de mettre en pause l’assouplissement monétaire et de faire volte-face en revenant à des taux plus élevés. Ce scénario envisage une confluence de conditions défavorables qui saperaient la croissance économique, la rentabilité des entreprises et la confiance des marchés.
Indice S&P 500 par rapport au bénéfice par action estimé à 12 mois
Répercussions sur les placements
Selon nous, les épargnants devraient chercher à appliquer des stratégies qui pourraient protéger leur capital et gérer les risques si le scénario baissier vient à se réaliser. Cela peut inclure une répartition accrue du portefeuille dans des titres à revenu fixe de haute qualité, comme des titres du Trésor américain. En ce qui concerne les actions, il pourrait être judicieux de privilégier les placements dans des entreprises de haute qualité, dotées de bilans solides, de flux de trésorerie stables et d’un historique de rendement régulier.
Dans un tel scénario, les épargnants pourraient également envisager des placements alternatifs tels que les actifs réels, car ils présentent généralement des corrélations faibles avec les titres cotés en bourse. Nous sommes convaincus que la gestion active peut être un outil essentiel pour gérer les risques et tirer parti des occasions à mesure que des perturbations surviennent. Dans un scénario baissier, nous nous attendons à ce que le dollar canadien et le dollar américain se négocient dans une fourchette de 0,67 à 0,70 $.
Nous parlons depuis longtemps de l’importance de conserver ses placements pendant les meilleurs et les pires jours du marché. Notre point de vue reste le même : il est essentiel de garder une perspective à long terme pour bien gérer ses placements pendant une période de marché baissier.
2 Le scénario haussier
Nous estimons qu’il y a 30 % de probabilité que le scénario haussier se réalise en 2025.
Hypothèses du scénario
Dans notre scénario haussier, le paysage économique mondial bénéficierait d’une croissance supérieure à la tendance, stimulée par la combinaison d’une forte activité de consommation aux États-Unis et d’une croissance significative en Chine, encouragée par les mesures de relance mises en place en 2024. Pour que les marchés enregistrent une véritable hausse, cette reprise de l’activité économique devrait être soutenue par une baisse des taux d’inflation, ce qui permettrait aux banques centrales mondiales de continuer à diminuer les taux d’intérêt.
Part des banques centrales réduisant leurs taux (%)
Si un tel scénario se réalise, l’assouplissement des conditions financières mondiales et les répercussions positives des politiques monétaires deviendront probablement des éléments favorables à la croissance. Il convient également de noter que les modifications des taux directeurs des banques centrales mondiales sont souvent des précurseurs de l’activité manufacturière. Étant donné que plus de 50 % des banques centrales mondiales que nous suivons réduisent leurs taux à l’heure où nous écrivons ces lignes, nous devrions bientôt assister à une reprise des activités manufacturières mondiales, pourvu que les politiques ne changent pas.
L'assouplissement de la politique monétaire se traduit généralement par un renforcement de l'industrie manufacturière
Dans ce scénario, les décideurs américains appliqueraient des politiques cycliques comme des réductions d’impôts pour les particuliers et les sociétés, ainsi que des mesures de déréglementation favorables aux petites entreprises, malgré les difficultés tenaces posées par l’intransigeance bureaucratique et le besoin d’approbation par le Congrès. Nous supposons également que certaines parties du Tax Cuts and Jobs Act de 2017 seraient renouvelées avec succès et qu’une série d’allègements fiscaux seraient mises en œuvre pour soutenir les consommateurs américains, y compris l’élimination de l’impôt fédéral sur les pourboires, sur la rémunération des heures supplémentaires et sur les prestations de la sécurité sociale. Dans le même temps, le taux d’imposition des sociétés passerait de 21 % à 15 %. Dans ce scénario, qui ne fonctionnerait qu’avec l’approbation du Congrès, nous avons supposé que le nouveau gouvernement poursuivrait en fin de compte une approche ciblée de l’imposition de barrières tarifaires.
Dans le cas de la Chine, l’équipe part de l’hypothèse que le gouvernement chinois mettra en œuvre une combinaison de mesures de relance budgétaire et monétaire visant à revitaliser l’économie chinoise et à inverser les pressions déflationnistes. En l’occurrence, cela signifie que la Banque populaire de Chine abaisserait d’un tiers son taux directeur et réduirait les taux des prêts hypothécaires afin de soutenir le consommateur chinois. Dans ce scénario, l’équipe suppose que les prochaines mesures de relance budgétaire seraient financées par l’émission d’obligations gouvernementales et que des mesures de soutien financier aux ménages à faible revenu seraient mises en place. Notre scénario haussier suppose également que les décideurs politiques annoncent des plans d’injection de capitaux dans les plus grandes banques d’État chinoises dans le but d’augmenter l’émission de prêts.
Il convient de noter qu’un tel scénario rappellerait ce que nous avons vu en 2015 et en 2016, une période marquée par une politique accommodante de la Réserve fédérale américaine (la Fed) et par des mesures de relance radicales en Chine.
Répercussions sur les placements
Dans un scénario haussier, les épargnants peuvent s’attendre à tirer profit des stratégies axées sur la génération de rendement alpha. D’un point de vue pratique, il pourrait s’agir d’augmenter la répartition en actions dans leur portefeuille, en donnant la priorité aux placements qui prospèrent lorsque les marchés ont de l’appétit pour le risque, tels que les sociétés de croissance (comme celles de l’indice Nasdaq), les sociétés à petite et moyenne capitalisation, les sociétés cycliques (y compris celles de l’indice S&P/TSX), et certains marchés émergents. Les matières premières cycliques, telles que le pétrole et les métaux de base, tirent aussi souvent profit de ce type de scénario.
En ce qui concerne les titres à revenu fixe, nous pensons qu’une surpondération des titres de créance par rapport aux obligations gouvernementales serait judicieuse dans un scénario haussier, et que les obligations à rendement élevé sont également susceptibles de surclasser leurs homologues de haute qualité. Enfin, dans ce scénario, nous nous attendons à ce que le dollar canadien et le dollar américain se négocient dans une fourchette de 0,74 à 0,78 $.
3 Notre scénario de base
Tout bien considéré, nous pensons que c’est ce scénario qui a le plus de chances de se réaliser en 2025. Nous avons estimé sa probabilité à 55 %.
Hypothèses du scénario
Dans notre scénario de base, le paysage économique mondial connaîtrait une croissance inférieure à la tendance, alourdie par des consommateurs épuisés par des coûts d’emprunt toujours élevés malgré les baisses de taux. Du côté de la Chine, les mesures de relance de l’économie n’auraient que peu d’efficacité. Dans ce scénario, les pressions inflationnistes continueraient à s’atténuer, ce qui permettrait aux banques centrales mondiales de poursuivre la baisse des taux d’intérêt de manière ordonnée.
Il est plus que probable que 2025 n’apporte qu’une croissance anémique aux principales économies qui façonnent la croissance mondiale, telles que les États-Unis, la Chine, l’Inde et la zone euro. Nous nous attendons à ce que l’économie canadienne soit confrontée à des facteurs défavorables importants dans un tel environnement, compte tenu de la sensibilité des consommateurs canadiens aux taux d’intérêt, qui restent élevés malgré les récentes baisses. Même si l’équilibre des risques reste orienté à la baisse, nous ne nous attendons pas à ce que l’économie mondiale connaisse une récession importante.
Aux États-Unis, selon les données du Sous-indice national de crédit lié aux conditions financières de la Réserve fédérale de Chicago, les conditions financières ne sont ni trop strictes (ce qui pourrait signaler un ralentissement économique important imminent) ni trop souples (ce qui pourrait indiquer une hausse de l’inflation). En d’autres termes, il est probable que nous nous trouvions dans un environnement optimal en termes de conditions financières.
Les conditions financières commencent à se détendre
Dans notre scénario de base, les promesses de campagne du nouveau gouvernement américain concernant les migrants sans-papiers et les barrières tarifaires ne seraient pas aussi étendues que prévu. Nous avons également estimé que le gouvernement Trump adoptera une approche ciblée et pragmatique des barrières tarifaires et cherchera à négocier des accords commerciaux avec des partenaires clés. D’autre part, nous pensons que les politiques d’imposition des sociétés évoquées pendant la campagne électorale présidentielle seront mises en œuvre de manière plus large, à condition que le Congrès soit disposé à coopérer.
En ce qui concerne la politique monétaire, nous pensons que la Fed poursuivra la baisse des taux, car les pressions inflationnistes continuent de s’atténuer. Cela dit, nous nous attendons à ce que l’incertitude politique reste prononcée et à ce que la banque centrale américaine adopte une approche dépendante des données pour ses futures décisions en matière de taux. Dans ce cas, les indicateurs économiques mensuels tels que les taux d’emploi et les dépenses de consommation prendraient encore plus d’importance qu’ils n’en ont déjà.
En revanche, nous pensons que la Banque du Canada continuera à réduire ses taux afin de stimuler l’activité économique, dans un contexte d’inquiétude quant à la faiblesse de la croissance. Dans ce scénario, le Canada s’avérerait sensible aux perturbations causées par les politiques commerciales et les conflits internationaux, en raison de sa forte intégration dans les marchés mondiaux.
Évaluation de la valorisation relative
P/E de l'indice S&P 500 en fonction de la capitalisation boursière par rapport au P/E à poids égal
Malgré ces défis, notre hypothèse pour le scénario de base est que le marché boursier américain restera résilient et affichera des rendements positifs en 2025.
Pendant une grande partie de l’année 2023, les résultats de l’indice S&P 500 ont été principalement alimentés par les sociétés technologiques à mégacapitalisation. La situation a changé en 2024, avec une reprise plus large qui a vu 493 des sociétés composant l’indice représenter environ la moitié de son rendement total1. Cela dit, la valorisation de l’indice S&P 500 reste trop élevée du point de vue de la capitalisation boursière par rapport à ses homologues à pondération égale.
Selon nous, le marché boursier américain dans son ensemble, c’est-à-dire les entreprises autres que les géants technologiques à mégacapitalisation, saura tirer profit de l’attention que portera le nouveau gouvernement Trump à l’économie nationale. Les valorisations relativement basses de ces sociétés pourraient constituer un moteur important pour l’indice S&P 500 en 2025.
Cela dit, nous nous attendons à ce que le profil de rendement de l’indice soit inégal au cours de l’année à venir, en raison d’une surperformance des secteurs moins sensibles aux taux et aux conditions économiques externes par rapport à leurs pairs. Les épargnants devront peut-être faire preuve de prudence face à ces fluctuations et se concentrer sur les entreprises capables de résister aux tempêtes économiques. Étant donné que nous entrons dans la dernière phase du cycle économique, il pourrait être judicieux pour les épargnants de se concentrer sur les entreprises qui ont retourné de bons résultats au cours de périodes similaires. Parmi les facteurs à prendre en compte, citons des mesures de rentabilité élevées, des flux de trésorerie récurrents et un fort pouvoir de fixation des prix.
Répercussions sur les placements
Si notre scénario de base se réalise, il serait logique que les épargnants adoptent des stratégies qui établissent un bon équilibre entre les facteurs de risque et les rendements potentiels. Selon nous, il serait préférable d’adopter une approche équilibrée de la gestion de portefeuille. Là encore, la gestion active peut être un outil essentiel pour gérer les risques et tirer parti des occasions.
En ce qui concerne les actions, nous pensons qu’il serait judicieux de donner la priorité aux placements de meilleure qualité tout en mettant l’accent sur la diversification. Sans surprise, la sélection des titres serait cruciale dans un tel environnement et une approche de placement indiciel large ne serait pas forcément préférable. Dans ce contexte, une répartition dans les actions mondiales et dans les sociétés américaines à moyenne capitalisation pourrait s’avérer judicieuse.
En ce qui concerne les titres à revenu fixe, la flexibilité restera primordiale, car le secteur pourrait traverser une période de volatilité extrême. Selon nous, ce n’est pas le moment idéal pour prendre de gros risques dans les titres à revenu fixe. Enfin, nous pensons que les matières premières cycliques devraient se négocier dans une fourchette étroite et que le dollar canadien et le dollar américain devraient se négocier dans une fourchette de 0,70 à 0,74 $.
Une approche nuancée et flexible en matière de placements
De notre point de vue, il est essentiel de comprendre l’éventail des scénarios possibles en matière d’économie et de placements pour gérer la complexité des marchés mondiaux en 2025. En envisageant de multiples résultats potentiels, les épargnants peuvent mieux se positionner pour protéger leur capital, saisir les occasions et atteindre leurs objectifs financiers à long terme. Bien que nous croyions que notre scénario de base se réalisera, nous sommes conscients que nous devons être prêts à changer de perspective si le contexte commence à évoluer dans une autre direction.
1 Bloomberg, au 21 novembre 2024.
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