Cinq facteurs qui jouent sur l’efficacité d’un portefeuille 60/40

L’année dernière, les commentateurs du marché ont passé beaucoup de temps à débattre de la pertinence de l’approche traditionnelle de placement 60/40, qui répartit 60 % du portefeuille dans des actions et 40 % dans des titres à revenu fixe. Cette stratégie a-t-elle fait son temps? Plutôt que d’entrer dans cette discussion, nous préférons nous concentrer sur un sujet plus constructif pour les investisseurs : les conditions macroéconomiques qui peuvent nuire à l’efficacité d’un portefeuille 60/40, et les leçons qu’il faut en tirer pour la constitution des portefeuilles à l’avenir.

Points à retenir

  • Les périodes de forte inflation, d’incertitude et de faible liquidité peuvent atténuer les avantages de la diversification d’un portefeuille 60/40.
  • Lors d’une période d’expansion monétaire, souvent portée par une politique monétaire accommodante, il peut exister une corrélation légèrement positive entre les actions et les obligations. Toutefois, il faut noter que selon nos données, les rendements de ces deux catégories sont généralement positifs dans de telles périodes.
  • Une hausse de la volatilité sur les marchés a un effet limité sur les avantages potentiels de diversification d’une approche 60/40.

Quels sont les avantages de diversification d’une approche 60/40?

Pour examiner la corrélation entre les actions et les obligations, il faudrait généralement comparer les variations mensuelles de l’indice S&P 500 avec les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans. Le but de cette comparaison serait d’observer la relation entre un actif risqué et un actif sans risques. Un examen rapide de cette relation révèle que la corrélation entre les deux a été positive ces vingt dernières années. Cela donne à penser que la diversification a apporté un avantage durant cette période1. Cependant, les rendements décevants des actions et des titres à revenu fixe en 2022 remettent en question les bienfaits de ce type de portefeuille.

L’indice S&P 500 comparé aux rendements des bons du Trésor américain sur 10 ans
Le graphique présente une comparaison entre l'indice S&P 500 et les rendements du Trésor américain à 10 ans afin de comprendre les périodes de corrélation entre les actions et les obligations et la manière dont cela peut affecter une approche d'investissement 60/40.
Source : Bloomberg, Macrobond et Gestion de placements Manuvie, au 9 mai 2023. Les zones grises indiquent des récessions. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice.

C’est une pratique courante d’utiliser l’indice S&P 500 et les rendements des bons du Trésor comme indicateurs de la corrélation entre les deux catégories d’actifs, mais nous ne pensons pas que cela représente toujours l’expérience réelle d’un investisseur. Selon nous, il est plus logique de comparer un indice d’actions avec un indice exhaustif du marché obligataire. Cette approche introduit des facteurs de risque supplémentaires, comme le risque de crédit, qui est souvent exclu des analyses traditionnelles de la corrélation entre les actifs risqués et sans risque. Cependant, nous estimons qu’elle offre une analyse plus précise de l’efficacité du portefeuille 60/40, dont les placements sont répartis dans une vaste gamme de titres à revenu fixe et pas seulement dans des obligations gouvernementales. Dans le cadre de cette approche, nous examinons la corrélation entre les rendements mensuels de l’indice S&P 500 et de l’indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond, sur une période mobile de 12 mois.

Mesurer la relation actions-obligations
Le graphique montre l'évolution de la corrélation entre l'indice S&P 500 et l'indice Bloomberg U.S. Aggregate Bond de 2001 à 2023 sur une base mobile d'un an. Les données montrent qu'au fil du temps, les avantages de la diversification recherchés par les investisseurs sont plus prononcés à certaines périodes qu'à d'autres. Un second graphique montre que les actions et les obligations sont devenues fortement corrélées en 2022.

Source : Macrobond et Gestion de placements Manuvie, au 9 mai 2023. « Gauche » désigne l’échelle de gauche. « Droite » désigne l’échelle de droite. Les zones grises indiquent des récessions. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice.

Les variations de la corrélation entre les deux indices montrent que les avantages de diversification recherchés par les investisseurs sont plus prononcés à certaines périodes. Cette observation peut avoir des conséquences importantes pour la constitution du portefeuille, en particulier du point de vue des rendements et de la gestion des pertes.

Étant donné la relation changeante entre les indices, notre objectif principal est de déterminer quelles sont les périodes et les forces macroéconomiques qui influent sur le degré de corrélation entre les prix des actions et ceux des obligations. Savoir déceler quand cette dynamique entre en jeu pourrait avoir une grande incidence sur les rendements. Cela permettrait aux répartiteurs d’actifs de chercher des avantages de diversification au-delà des actions et des obligations, et de le faire en avance

Les périodes de forte corrélation entre les actions et les obligations – cinq facteurs à examiner

Un portefeuille traditionnel 60/40 peut donc bénéficier d’une approche de gestion active et flexible. Pour mieux comprendre ces bénéfices, nous avons examiné cinq facteurs qui permettent de déterminer quelles périodes ont une incidence sur la corrélation entre les actions et les obligations. Cet examen porte sur toutes les périodes entre 1989 et avril 2023, afin de comprendre les répercussions de ces cinq facteurs.

L’inflation

D’après notre analyse, ce sont les données de l’inflation globale qui ont l’effet positif le plus important sur la relation entre les actions et les obligations. Cette relation apparaît encore plus prononcée lorsque nous appliquons des mesures fondamentales, comme l’inflation hors alimentation et énergie, à l’indice des prix à la consommation (l’IPC) et au déflateur des dépenses personnelles de consommation. Selon nos recherches, le degré de corrélation entre l’inflation fondamentale et la relation actions-obligations est environ 0,50. Le chiffre équivalent pour l’inflation globale était légèrement inférieur, soit environ 0,40. Autrement dit, il semble que l’approche 60/40 a moins de chances d’être efficace lorsque les prix sont en hausse.

Deux autres observations sont à noter : premièrement, lorsque l’inflation est en dessous de 3 %, les effets de la corrélation entre les actions et les obligations peuvent être très variés, avec un résultat plus négatif quand la hausse des prix par rapport à l’année précédente reste inférieure à 1 %. Deuxièmement, lorsque l’inflation monte au-dessus de 3 %, la corrélation entre les deux catégories d’actifs a presque toujours des effets positifs. Nous pensons que cette variation dans la corrélation résulte du resserrement monétaire qui suit généralement une hausse de l’inflation.

L’IPC hors alimentation et énergie comparé à la corrélation actions-obligations
Le graphique montre une comparaison entre l'inflation, hors alimentation et énergie, et la relation de corrélation entre les actions et les obligations. Lorsque l'inflation dépasse 3 %, la corrélation entre les actions et les obligations devient positive. En revanche, lorsque la croissance économique est inférieure à 1 %, la corrélation entre les actions et les obligations devient plus négative.

Source : Réserve fédérale américaine, U.S. Bureau of Labor Statistics, U.S. Bureau of Economic Analysis, American Association of Individual Investors, Macrobond, Gestion de placements Manuvie, au 9 mai 2023. IPC désigne l’indice des prix à la consommation, qui suit la variation moyenne des prix payés au fil du temps par les consommateurs urbains pour un panier de biens et services. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice. Variation d’une année sur l’autre.

Liquidité

Notre analyse indique une corrélation légèrement négative (environ -0,35) entre la croissance de la masse monétaire (en utilisant la catégorie M22) et la relation actions-obligations. Cependant, cette corrélation devient un peu moins négative lorsque l’inflation est prise en compte, c’est-à-dire lorsqu’on utilise la catégorie M2 à l’exclusion de l’IPC. Cela signifie qu’à mesure que la masse monétaire ralentit, la corrélation avec la relation actions-obligations se renforce. Cela dit, un effet similaire se produit lorsque la masse monétaire augmente de plus de 10 % en tenant compte de l’inflation. En d’autres termes, la corrélation entre les actions et les obligations devient plus positive dans des conditions de liquidité du marché restreinte et de haute liquidité, comme en cas de relance des marchés. Nous estimons que ce dernier résultat apparaît généralement lorsque la politique fiscale ou monétaire intervient de façon soudaine, peut-être sous la forme d’un plan de relance important comme ceux qui ont été introduits pendant la pandémie de la COVID-19.

On ne peut pas parler de la liquidité des marchés sans mentionner les différents programmes d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale américaine (la Fed). Ces initiatives augmentent grandement la masse monétaire qui circule dans le système financier, ce qui renforce la corrélation positive entre les actions et les obligations. En ce qui concerne la répartition des actifs, nos recherches indiquent que les avantages de diversification offerts par le modèle 60/40 peuvent perdre en efficacité lorsque la croissance en argent réel ralentit et lorsque le système financier reçoit une injection importante et rapide de liquidités. Étant donné que la plupart des catégories d’actifs tendent à gagner en valeur dans de telles circonstances, il est peu probable que les investisseurs s’inquiètent de la diversification. Ils seront beaucoup plus intéressés de savoir quelle catégorie d’actif affichera les meilleurs rendements.

La masse monétaire M2 (sur une période mobile de 12 mois) sans l’IPC comparée à la corrélation actions-obligations
Le graphique montre que lorsque la masse monétaire augmente de plus de 10 % en termes corrigés de l'inflation, la corrélation entre les actions et les obligations s'accroît.

Source : Réserve fédérale américaine, U.S. Bureau of Labor Statistics, U.S. Bureau of Economic Analysis, American Association of Individual Investors, Macrobond, Gestion de placements Manuvie, au 9 mai 2023. IPC désigne l’indice des prix à la consommation, qui suit la variation moyenne des prix payés au fil du temps par les consommateurs urbains pour un panier de biens et services. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice. Variation d’une année sur l’autre. M2 est une mesure de la masse monétaire qui comprend des espèces, des dépôts de comptes chèques, des dépôts d’épargne, des titres du marché monétaire, des fonds communs de placement et d’autres dépôts à terme. M2 est largement utilisé comme indicateur de la masse monétaire disponible à la dépense et au placement dans l’économie.

L’incertitude

Nous avons examiné la relation actions-obligations en cas de pression sur le réseau mondial d’approvisionnement, en utilisant l’indice Global Supply Chain Pressure comme indicateur. Le degré de corrélation révélé est d’environ 0,45. Les résultats indiquent que lorsque l’indice dépasse 1, la corrélation entre les actions et les obligations tend vers le positif, ce qui laisse supposer que l’approche 60/40 de constitution du portefeuille pourrait perdre en rendement lorsque les réseaux mondiaux d’approvisionnement sont sous pression. Il faut également noter que même si les chiffres de l’indice ont été assez extrêmes ces dernières années, cela vient surtout de la pandémie de la COVID-19, et nous considérons ces conditions comme exceptionnelles.

L’indice Global Supply Chain Pressure comparé à la corrélation actions-obligations
Le graphique compare l'indice de pression de la chaîne d'approvisionnement mondiale à la corrélation entre les actions et les obligations et montre que lorsque l'indice dépasse 1,00, la corrélation entre les actions et les obligations se renforce.

Source : Institute for Supply Management, Indice de l’incertitude à l’égard de la politique économique, American Association of Individual Investors, Macrobond, Gestion de placements Manuvie, au 9 mai 2023. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice.

La croissance

Nous avons examiné le rapport entre la croissance économique et la relation actions-obligations et nous avons découvert un lien légèrement positif entre les deux. Un point intéressant : les indicateurs mesurant la production manufacturière semblent avoir un rapport et un effet légèrement plus forts en ce qui concerne la corrélation actions-obligations, par comparaison avec des indicateurs de croissance plus larges comme le PIB. C’est un résultat encourageant, car il laisse entendre qu’en cas de période de faible croissance, si les rendements des actions baissent, il est probable que les actifs à revenu fixe présenteront des résultats plus positifs et alignés sur l’approche 60/40. De plus, nous avons observé que la corrélation se renforçait dans une certaine mesure en cas d’exclusion des données récentes recueillies pendant la pandémie de la COVID-19.
 

La volatilité

Nous avons employé deux mesures différentes pour examiner l’effet de la volatilité sur la relation actions-obligations. Pour les actions, nous avons utilisé l’indice de volatilité CBOE, et les indices ICE BofA et U.S. Bond MOVE pour les obligations. De façon surprenante, les résultats montrent que la corrélation entre la volatilité des marchés boursiers et obligataires et la relation actions-obligations pourrait être faible. Cela dit, il ne faut pas oublier les répercussions de la pandémie sur ces corrélations. Avant la COVID-19, la corrélation entre les actions et les obligations et la volatilité des titres à revenu fixe était légèrement plus élevée que maintenant, soit de l’ordre de 0,25. Cela pourrait indiquer que la réponse du marché à la pandémie et les politiques gouvernementales de soutien de l’économie ont déformé les données, d’où la difficulté à déchiffrer la corrélation actuelle entre la volatilité des marchés et la relation actions-obligations. 

« En fin de compte, le plus important est de faire un usage stratégique des bons outils au bon moment. »

La voie à suivre

Nos analyses ont donné des résultats intéressants et ont livré une perspective essentielle sur les facteurs qui peuvent compromettre l’efficacité d’une approche traditionnelle 60/40 de la répartition des actifs. Selon notre étude, l’efficacité du portefeuille 60/40 peut diminuer pendant des périodes de haute inflation, en particulier lorsque celle-ci dépasse 3 %. Elle diminue également pendant des périodes de baisse de la liquidité et, contrairement aux attentes, en cas d’injection soudaine et importante de liquidités, ce qui se produit généralement lorsque des plans de relance sont introduits.

Un point encourageant est que la relation attendue entre les actions et les obligations se rétablit en cas de ralentissement économique. Dans de telles conditions, les actifs à revenu fixe retrouvent leur rôle traditionnel d’outil de diversification à mesure que les rendements des actions diminuent. D’un autre côté, la corrélation actions-obligations a été peu touchée par des cas de haute volatilité sur les marchés boursiers et obligataires.

Ces résultats posent évidemment une question importante : quels types d’actifs offrent des avantages de diversification lorsque la corrélation actions-obligations devient positive? Selon nous, la réaction logique serait d’élargir l’univers de placement et de songer à des placements alternatifs. Par exemple, les actifs immobiliers ont généralement une corrélation plus basse par rapport à un portefeuille traditionnel 60/40, et constituent donc une source viable de diversité. En fin de compte, le plus important est de faire un usage stratégique des bons outils au bon moment. Plutôt que de débattre de la pertinence de l’approche 60/40, nous conseillons une stratégie constructive qui vise à déceler les conditions qui pourraient diminuer l’efficacité d’une telle approche. Cela permettrait aussi aux investisseurs de déterminer quelles catégories d’actifs auront le meilleur effet sur les rendements dans les périodes qui renforcent les corrélations. Notre avis est que pour obtenir des résultats de placement optimaux, il devient essentiel d’adopter une approche active de répartition de l’actif dans de telles périodes.

1 Il est important de noter que les prix des obligations sont inversement proportionnels à leurs rendements. Par conséquent, une corrélation positive entre l’indice S&P 500 et les rendements des bons du Trésor américains à 10 ans semble indiquer une corrélation négative entre les rendements des deux catégories d’actifs, ce qui fournit un avantage de diversification.

2 M2 est une mesure de la masse monétaire qui comprend des espèces, des dépôts de comptes chèques, des dépôts d’épargne, des titres du marché monétaire, des fonds communs de placement et d’autres dépôts à terme. M2 est largement utilisé comme indicateur de la masse monétaire disponible à la dépense et au placement dans l’économie.

La corrélation est une mesure statistique qui décrit les variations des placements les uns par rapport aux autres. Elle va de -1 à 1. Plus le chiffre s’approche de 1 ou de -1, plus les deux placements sont liés. La diversification n’est pas une garantie de profit et n’élimine pas le risque de perte. L’assouplissement quantitatif est une politique monétaire dans le cadre de laquelle une banque centrale achète des obligations gouvernementales ou d’autres titres à revenu fixe afin de faire baisser les taux d’intérêt, augmenter la masse monétaire et relancer la croissance économique. La volatilité mesure les fluctuations des rendements. Elle n’est pas toujours un indicateur des risques futurs et n’est pas un indicateur des rendements. La diversification n’est pas une garantie de profit et n’élimine pas le risque de perte.

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Frances Donald

Frances Donald, 

Ancienne économiste en chef, Monde et stratège

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Alex Grassino

Alex Grassino, 

Cochef, Stratégie économique mondiale, équipe Solutions multiactifs

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Nathan W. Thooft, CFA

Nathan W. Thooft, CFA, 

Chef des placements, gestionnaire de portefeuille principal, Équipe Solutions multiactifs

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Geoffrey Kelley, CFA

Geoffrey Kelley, CFA, 

Gestionnaire de portefeuille principal et chef mondial, Répartition stratégique de l’actif et Gestion systématique des actions, Solutions multiactifs,

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