Trouver des occasions de placement dans un monde en rapide évolution
De l’intelligence artificielle à l’énergie renouvelable, en passant par la génomique et la démographie, nous ne cessons de repousser les limites du possible et cela a de profondes répercussions pour les investisseurs.
Pensons, par exemple, au développement des vaccins contre la COVID-19 l'an dernier qui a été rendu possible grâce à la rapidité à laquelle on peut maintenant faire du séquençage génomique. Le projet de collaboration scientifique internationale sur le génome humain a été lancé en 1990 dans le but de déterminer les paires de bases qui composent l’ADN humain et il a fallu 13 ans pour le mener à bien. Les scientifiques sont maintenant capables de séquencer le génome entier d’un être humain en quelques heures pour un coût inférieur au prix d’un complet ou d’un tailleur. À partir de ce séquençage, il n’aura fallu que deux jours à des entreprises pharmaceutiques comme Moderna pour mettre au point un vaccin contre la COVID-19. Le fait qu’il est désormais possible séquencer le génome aussi rapidement et à un tel coût laisse entrevoir d’immenses possibilités pour la médecine personnalisée, dont le marché devrait, selon les estimations, s’établir à près de 3 000 milliards de dollars américains à l’échelle mondiale l’an prochain.¹
Nous nous penchons aujourd’hui sur trois domaines dont l’évolution rapide ouvre la voie à de nouveaux paradigmes et à de nouvelles façons de penser : la transition vers une économie à faibles émissions de carbone, l’accélération de la transformation numérique et l’accroissement de la richesse dans les marchés émergents et, finalement, l’adoption de nouvelles stratégies de recherche de rendement.
Transition vers une économie à faibles émissions de carbone
L’Accord de Paris de 2015 vise à limiter le réchauffement de la planète à moins de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels. Pour atteindre cet objectif, il faudra que les pays réduisent le plus tôt possible leurs émissions de gaz à effet de serre de manière à ce que nous puissions parvenir à la carboneutralité d’ici 2050. Ce passage à une économie mondiale à faibles émissions de carbone toucherait probablement presque tous les aspects de notre vie; par exemple, même si la production mondiale d’électricité double au cours des prochaines décennies, la part de la production d’électricité représentée par l’énergie renouvelable passerait de 24 % en 2015 à 85 % d’ici 2050.² Les mesures prises depuis 2015 ont déjà donné naissance à des solutions à faibles émissions de carbone et à de nouveaux marchés dans l’ensemble de l’économie mondiale, notamment dans les secteurs de l’énergie électrique et des transports. Les plus grands constructeurs d’automobiles du monde ont fait part de leur intention de cesser de fabriquer des véhicules à moteur à combustion interne. De plus, des gouvernements du monde entier se sont donné des échéances pour supprimer les émissions automobiles. On estime que les ventes de véhicules électriques pourraient dépasser celles des véhicules à moteur à combustion interne à l’échelle mondiale avant 2050.³
L’importance croissante de l’énergie solaire et éolienne dans la production d'électricité
Production d’électricité par source (TWh/année)
Source : Agence internationale pour les énergies renouvelables, Global Energy Transformation: A Roadmap to 2050, 2018. Ce scénario comprend le déploiement de technologies à faibles émissions de carbone, reposant principalement sur l’énergie renouvelable et l’efficacité énergétique, afin de transformer le système énergétique mondial de façon à limiter la hausse de la température mondiale bien en deçà de deux degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels. Le scénario met l’accent sur les émissions de dioxyde de carbone liées à l’énergie, qui représentent environ les deux tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Le passage à une économie à faibles émissions de carbone comporte bien sûr son lot de risques et d’opportunités, et la compréhension des risques financiers implicites est une caractéristique essentielle de l’investissement durable ainsi qu’un objectif appuyé par le Groupe de travail sur l’information financière relative aux changements climatiques (GIFCC) des Nations Unies. Selon le GIFCC, le passage à une économie à faibles émissions de carbone nécessitera l’investissement de milliers de milliards de dollars et pourrait entraîner des changements importants sur le plan des politiques, des lois, de la technologie et des marchés pour atténuer les risques et s’adapter aux changements climatiques.
Selon la nature, la rapidité et l’orientation de ces changements, les risques liés à la transition peuvent présenter divers risques financiers et risques pour la réputation des sociétés.
L’impact potentiel sur les actions mondiales (par secteur) d’une transition vers une économie faible en carbone
Compte tenu de sa nature dynamique, cette transition multifacette nécessite une méthode de placement active à deux égards. Premièrement, les indices pondérés par la capitalisation boursière d’aujourd’hui ne peuvent pas rendre compte du changement de composition des secteurs économiques; demain sera différent, et certaines des sociétés qui sont aujourd’hui les plus importantes du point de vue de la capitalisation boursière pourraient se retrouver reléguées au second plan. Deuxièmement, les gestionnaires actifs peuvent exercer une influence sur les sociétés dans lesquelles ils investissent en intervenant auprès de ces dernières pour les aider à augmenter leurs chances de réussite.
Changements transformationnels sur les marchés émergents
Pendant des décennies, les marchés émergents ont été considérés comme des économies de ressources naturelles, dont les secteurs axés sur les produits de base exportaient des matières premières à faible coût qui permettaient d’alimenter le moteur économique de pays plus riches et plus développés. Cependant, la réalité a bien changé. Des marchés d’Asie et d’Europe de l’Est profitent aujourd’hui d’une augmentation de la consommation intérieure alimentée par une classe moyenne en pleine croissance, par la transformation numérique et par un changement radical au niveau de la composition économique des entreprises.
La composition de l’indice MSCI Marchés émergents pondéré par la capitalisation boursière témoigne de ce changement. Il y a 10 ans, la pondération de l’énergie et des matières premières au sein de l’indice était à peu près semblable à la part combinée des secteurs de la consommation discrétionnaire, des technologies et des services de communication. Aujourd’hui, l’énergie et les matières premières (12,9 %) sont éclipsées par rapport à ces autres secteurs, dont la pondération a grimpé à près de 50 % de l’indice de référence.
Les marchés émergents se tournent vers les secteurs en croissance plus rapide des technologies et de la consommation
Source : MSCI Inc., 2021. Données au 31 décembre de chaque année. L’indice MSCI Marchés émergents suit le rendement des sociétés à grande et à moyenne capitalisation des marchés émergents inscrites en bourse. Il n’est pas possible d’investir directement dans un indice.
Si l’on s’attend à ce que cette tendance s’accélère, c’est entre autres parce que des pays comme l’Inde ont fait de la transformation numérique une politique publique. L’Inde a établi les bases de son potentiel économique numérique en 2014 lorsque le gouvernement a amorcé le processus de formalisation (en donnant à son économie, essentiellement locale et qui utilisait principalement l’argent comptant, une orientation plus transparente et moderne). Cette étape était nécessaire puisque ce secteur informel de l’Inde employait 90 % de la main-d’œuvre, mais ne contribuait qu’à 50 % du PIB, ce qui nuisait considérablement à la productivité globale.⁴
Tous les adultes indiens se sont vu octroyer un compte bancaire et un numéro d’identité unique à 12 chiffres lié à un numéro de téléphone mobile. Grâce à cette mesure, baptisée « trinité JAM », les citoyens indiens peuvent désormais effectuer leurs opérations de manière électronique et à distance par l’intermédiaire de réseaux officiels. Le programme de formalisation a coïncidé avec l’apparition des réseaux de télécommunications 4G, l’augmentation de la pénétration de l’Internet et la disponibilité de produits et de services en ligne.
La trinité JAM a tiré parti des nouvelles infrastructures de télécommunications de l’Inde pour attirer des milliers d’entreprises dans le réseau bancaire officiel. Cela a concordé avec l’augmentation de l’offre de téléphones intelligents et a entraîné une croissance explosive. De 2016 à 2019, le taux de pénétration du réseau 4G a bondi, passant de 8 % à 49 %, et l’utilisation moyenne de données mobiles a été multipliée par 8, pour atteindre 11,2 Go/mois par utilisateur.⁵ Avec l’émergence de nouveaux modèles de commerce électronique, l’économie de l’Internet en Inde a attiré des investissements massifs de la part de sociétés comme Walmart, Amazon et Facebook. On s’attend désormais à ce que le commerce électronique en Inde dépasse en valeur celui des États-Unis d’ici 2034 et à ce qu’il affiche un taux de croissance annuel composé d’environ 27 %.⁶
On s’attend désormais à ce que le commerce électronique en Inde dépasse celui des États-Unis d’ici 2034 et à ce qu’il affiche un taux de croissance annuel composé d’environ 27 %.
Tout comme la transition vers une économie à faibles émissions de carbone, les changements qui se produisent aujourd’hui dans les régions les plus peuplées du monde présentent à la fois des occasions et des risques pour les investisseurs, dans la mesure où de nouveaux gagnants et de nouveaux perdants économiques émergeront au cours des prochaines années.
Nouvelles stratégies de recherche de rendement
Les investisseurs institutionnels doivent composer depuis des années avec la baisse des taux des obligations gouvernementales mondiales. La tendance s’est encore intensifiée durant la pandémie, sous l’effet des nouveaux programmes de relance des banques centrales et des efforts déployés par les investisseurs pour se mettre à l’abri de la volatilité boursière. À la fin de 2020, les titres de créance à taux négatifs atteignaient un niveau record de plus de 18 000 milliards de dollars américains à l’échelle mondiale, et le taux de l’obligation du Canada à 10 ans n’était que de 0,69 %, soit un niveau inférieur au taux d’inflation.⁷ Même après la hausse enregistrée cette année, les taux de la plupart des marchés développés restent inférieurs à 1 % et sont négatifs une fois l’inflation prise en compte.⁸ Les régimes de retraite publics continueront de chercher de nouvelles sources de rendement pour pouvoir faire face à leurs engagements.
Les stratégies de placement sur les marchés privés visent à offrir aux investisseurs un certain nombre de nouvelles façons d’obtenir de bons rendements ajustés pour le risque. Par exemple, la hausse des prix du carbone, combinée à l’acceptation croissante des crédits carbone, pourrait se traduire par des revenus supplémentaires pour les placements dans le bois d’œuvre et l’agriculture, ce qui élargirait les options en matière d’exploitation de propriétés et augmenterait potentiellement la valeur des terres. Ces nouvelles sources de revenus liées au carbone pourraient entraîner un changement de paradigme dans le domaine des placements en ressources naturelles. À l’importance accordée actuellement au rendement des récoltes et au rendement financier des cultures pourraient s’ajouter de nouvelles stratégies axées sur l’optimisation de la rentabilité du captage et du stockage du carbone, afin d’atteindre les objectifs environnementaux des investisseurs. Déjà, l’acceptation généralisée des crédits compensatoires de carbone favorise la croissance et le développement de marchés actifs permettant l’échange de carbone stocké dans les forêts, et permet aux propriétaires de terrains forestiers de tirer profit des capacités de captage et de stockage du carbone de leurs forêts.
Les prix du carbone ont augmenté depuis l’Accord de Paris
Source : Partenariat International d’Action sur le Carbone, 11 mars 2020.
Le crédit privé constitue un autre exemple. Lorsqu’ils font affaire avec le bon partenaire, les investisseurs à long terme qui misent sur le crédit privé peuvent profiter de taux plus élevés, d’une moindre volatilité des cours et d’une meilleure diversification que ceux qui n’investissent que dans les actions, les obligations et les bons du Trésor. Alors que les investisseurs en titres à revenu fixe bénéficient d’un marché secondaire très liquide pour acheter et vendre, les prêteurs directs, ou les investisseurs en titres de créance privés, nouent généralement des relations à long terme avec leurs emprunteurs. Ils peuvent ainsi profiter d’une prime d’illiquidité par rapport aux rendements des obligations et des prêts bancaires de qualité comparable.
La prime de rendement du crédit privé confère une marge de sécurité aux prêteurs
Taux actuels, au 31 mars 2021 (%)
Sources : Banque du Canada, Deutsche Bundesbank, Cliffwater, FactSet, ministère des Finances (Japon), Trésor américain, au 31 mars 2021. Pour connaître les indices représentatifs des catégories d’actifs, reportez-vous aux notes plus bas.⁹
Une approche active
Tous ces changements ont un point commun : dans tous les cas, la recherche sur les placements, la gestion de portefeuille et la gestion active des actifs réels peuvent contribuer à offrir de meilleurs résultats aux investisseurs. À Gestion de placements Manuvie, notre tradition d’investissement dans des actifs réels dure depuis plus de 95 ans et s’appuie sur notre présence dans 18 régions au 31 mars 2021. Elle profite notamment d’une équipe de titres à revenu fixe sophistiquée en Asie, dont les analystes collaborent avec des collègues de diverses disciplines et régions (y compris notre équipe ESG) pour mieux comprendre les risques et les occasions potentiels. Peu importe la rapidité avec laquelle l’univers des placements évoluera durant les prochaines années, notre objectif est d’aider les investisseurs à tirer parti des possibilités.
Nous sommes là pour vous aider.
Veuillez communiquer avec votre conseiller pour obtenir de l’aide et des conseils. Nous sommes également à votre disposition pour discuter de votre portefeuille et élaborer une stratégie de placement avec vous.
1 Estimations de Statistica : Grand View Research, 2018. 2 Agence internationale pour les énergies renouvelables, A Roadmap to 2050, 2018. 3 Wood Mackenzie, février 2021. 4 Confederation of Indian Industry, octobre 2014. 5 Rapport de sociétés individuelles : Idea, Vodafone et Reliance Jio, JP Morgan, 2016-2019. 6 India Brand Equity Foundation, 2021. 7 FactSet, 31 décembre 2020. 8 Bloomberg, juin 2021. 9 Crédit privé (comprenant de second rang) : Indice Cliffwater Direct Lending; crédit privé (de premier rang seulement) : Indice Cliffwater Direct Lending : Créances de premier rang seulement; obligations américaines à rendement élevé : Indice Bloomberg Barclays U.S. Corporate HY; obligations de sociétés américaines : Indice Bloomberg Barclays U.S. Corporate IG; obligations américaines de base : Indice Bloomberg Barclays U.S. Agg Bond; bons du Trésor américain : 10 ans; obligations du Canada : 10 ans; bons du Trésor américain à court terme : Indice Bloomberg Barclays U.S. Short Treasury; obligations d’État japonaises : 10 ans; obligations d’État allemandes : 10 ans.
Renseignements importants
Une crise généralisée dans le secteur de la santé, comme une pandémie mondiale, pourrait entraîner une forte volatilité des marchés, la suspension et la fermeture des opérations de change, et affecter le rendement du portefeuille. Le nouveau coronavirus (COVID-19) perturbe ainsi considérablement les activités commerciales à l’échelle mondiale. Une crise sanitaire ainsi que des épidémies et pandémies futures pourraient avoir, sur l’économie mondiale, des répercussions qui ne sont pas nécessairement prévisibles à l’heure actuelle. Une crise sanitaire peut exacerber d’autres risques préexistants, qu’ils soient politiques, sociaux ou économiques. Cela pourrait nuire au rendement du portefeuille, ce qui entraînerait des pertes sur votre placement.
Les placements comportent des risques, y compris le risque de perte du capital. Les marchés des capitaux sont volatils et peuvent considérablement fluctuer sous l’influence d’événements liés aux sociétés, aux secteurs, à la politique, à la réglementation, au marché ou à l’économie. Ces risques sont amplifiés dans le cas des placements effectués dans les marchés émergents. Le risque de change s’entend du risque que la fluctuation des taux de change ait un effet négatif sur la valeur des placements détenus dans un portefeuille.
Les renseignements fournis ne tiennent pas compte de la convenance des placements, des objectifs de placement, de la situation financière ni des besoins particuliers d’une personne donnée. Nous vous invitons à évaluer la convenance de tout type de placement à la lumière de votre situation personnelle et à consulter un spécialiste, au besoin.
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