Le point sur la répartition de l’actif : Prévision de novembre 2022
Nos experts estiment que le comportement des marchés dépendra essentiellement d’un grand thème dans les mois à venir, à savoir à quel moment prendront fin les politiques de restriction monétaire adoptées par de nombreuses banques centrales mondiales pour contenir l’inflation.
Notre évaluation du contexte de négociation
Quand le resserrement de la politique monétaire prendra-t-il fin? Voilà la grande question! Nous pensons qu’il est tout probable qu’il survienne vers la fin du premier trimestre de 2023.
Plusieurs banques centrales – dont la Banque d’Angleterre, la Banque du Canada (BdC) et la Banque centrale européenne (BCE) – ont fait savoir qu’elles regardaient au-delà des données sur l’inflation actuelle et optaient pour une vision plus globale de l’économie. Ce changement de discours laisse penser qu’un ralentissement de la hausse des taux d’intérêt suivi d’une pause est probable. En revanche, d’autres – dont la Réserve fédérale américaine (Fed) – ne partagent pas du tout ce point de vue. Nous pensons néanmoins que l’évolution de la conjoncture économique et la modération de l’inflation au premier trimestre de 2023 entraîneront un changement de position stratégique au cours du premier semestre de l’année prochaine.
Malheureusement, le revers de la médaille est que la plupart des marchés développés pourraient entrer en récession d’ici juin prochain. Le resserrement de la politique monétaire a déjà eu des répercussions importantes sur les secteurs sensibles aux taux d’intérêt, comme le logement et la consommation de biens durables. En outre, plusieurs enquêtes économiques de premier plan laissent clairement entendre que le rythme de la production industrielle devrait encore ralentir. À notre avis, même les dépenses publiques, qui constituent généralement un facteur de stabilisation pendant les périodes de faible croissance, sont peu susceptibles de soulager l’économie. De toute façon, vu l’ampleur des mesures de relance budgétaire adoptées par les gouvernements pendant la pandémie, leur capacité à augmenter les dépenses est désormais réduite.
Prévisions de rendement sur cinq ans des différentes catégories d’actif (%)
L’inflation, élément central de tout effort de prévision
L’inflation reste la variable la plus importante en matière de perspectives économiques. Pour dire les choses simplement, si les pressions inflationnistes se prolongent, les banques centrales disposeront de moins de marge de manœuvre pour modérer ou, en effet, inverser leurs cycles de resserrement. Or, compte tenu de leurs politiques volontaristes de suppression des dispositifs d’accommodation, un tel scénario ne ferait qu’accroître les risques pour les marchés financiers et l’économie en général.
Notre scénario central reste celui d’une accalmie de l’inflation qui permettra à la plupart des banques centrales de faire une pause et d’évaluer l’impact d’un resserrement cumulatif – pour reprendre les mots de la Fed – avant la fin du deuxième trimestre de 2023. Les éléments qui viennent étayer ce point de vue ne manquent pas. En effet, la résorption des tensions des chaînes d’approvisionnement, la baisse de la demande de biens et les effets de base liés à l’invasion de l’Ukraine par la Russie sont autant de facteurs susceptibles d’y contribuer. Mais attention : les pressions inflationnistes devraient se relâcher de manière hétérogène. Plus précisément, certains services essentiels, notamment le coût du logement, sont susceptibles de rester durablement élevés, même si d’autres coûts diminuent. Il faut donc espérer que l’impulsion désinflationniste émanant des biens soit en mesure de tempérer suffisamment les chiffres d’ensemble pour justifier une pause dans le resserrement de la politique monétaire.
Si cette accalmie de l’inflation ne se concrétise pas, les banques centrales seront confrontées à deux possibilités : ignorer l’inflation (comme certaines le font déjà) ou poursuivre le resserrement au-delà de ce que les marchés ont prévu. Ce second scénario entraînerait probablement une nouvelle flambée de volatilité sur les marchés.
Opérations de change : un facteur important pour les rendements au cours de la prochaine année
À l’horizon 2023, nous nous attendons à ce que les fluctuations des taux de change jouent un rôle important dans les rendements. Pour l’heure, le dollar américain (USD) bénéficie d’un différentiel de rendement élevé par rapport aux titres du Trésor américain, le resserrement récent de la politique de la Fed ayant rendu les obligations américaines plus intéressantes par rapport aux autres dettes publiques. De plus, l’incertitude mondiale a entraîné une dynamique de valeur sûre qui semble appelée à soutenir le dollar américain plus longtemps. Au cours des 12 à 15 prochains mois, nous pensons que toute stabilisation ou inversion relative des politiques monétaires se reflétera dans les taux de change, ce qui ajoutera une dimension importante à prendre en compte lors de l’affectation de fonds à des actions d’autres pays que les États-Unis.
Nos perspectives sur les actions
Les actions américaines devraient rebondir à mesure que les anticipations de fin de resserrement de la politique monétaire se renforcent. Les évaluations des actions semblent également correctes par rapport à leurs niveaux historiques et pourraient représenter un point d’entrée tactique intéressant. À l’inverse, la détérioration des conditions économiques et la probabilité d’une récession (sans parler de ses répercussions sur les bénéfices) pourraient jouer en défaveur des rendements. Sur le plan structurel, les États-Unis bénéficient du profil économique à long terme le plus sain parmi les marchés développés, bien que la valeur relative des actions du pays puisse bien en réduire l’attrait. De plus, au vu de la vigueur du dollar américain, les taux de change pourraient devenir un facteur défavorable, tant sur le plan tactique que structurel, notamment par rapport aux devises des autres marchés développés.
La dégradation du contexte macroéconomique, avec un risque de baisse évident lié à l’immobilier et à l’endettement élevé des consommateurs, constitue un facteur défavorable pour la catégorie d’actif. La détérioration des perspectives de bénéfices en est un autre, contribuant à notre position neutre sur les actions canadiennes d’un point de vue tactique. Pour autant, malgré un potentiel de croissance à long terme plus modeste au Canada qu’aux États-Unis, nous continuons de penser que les actions canadiennes sont intéressantes à long terme compte tenu de leur profil favorable en matière de dividendes et de leurs valorisations raisonnables. Du point de vue des devises, l’appréciation du dollar canadien (CAD) pourrait apporter un soutien appréciable à long terme à la catégorie d’actif.
La région est confrontée à des difficultés importantes à l’approche de l’hiver, qui sera marqué par des pénuries d’énergie, alors que le conflit résultant de l’invasion de l’Ukraine par la Russie se prolonge. Cela dit, les évaluations des actions dans la région sont attrayantes et nous restons très attentifs aux facteurs macroéconomiques. Nous pensons que l’élimination des principaux risques auxquels la région est exposée pourrait entraîner une hausse rapide des cours, qui serait probablement accompagnée d’une appréciation de l’euro. Au-delà des incertitudes de cet hiver, les perspectives à plus long terme pour les actions européennes sont positives, car leurs valorisations, leur profil de dividende et l’effet d’entraînement favorable des fluctuations des taux de change en renforcent l’attrait, de même que les événements géopolitiques susceptibles de déboucher sur une résolution du conflit en cours. On notera également que le profil de croissance de la région s’est amélioré par rapport aux périodes précédentes.
Cette catégorie d’actif est tributaire de la dynamique de l’industrie manufacturière et du commerce mondial, qui reste bridée par les perturbations des chaînes d’approvisionnement et devrait être confrontée à des facteurs défavorables avec le ralentissement de la demande de biens en 2023. Nous privilégions une légère sous-pondération des actions des marchés émergents à court terme. L’incertitude économique persistante en Chine, qui représente une grande partie de l’univers des marchés émergents, est également préoccupante. Nous continuons de penser que les actions des marchés émergents sont intéressantes d’un point de vue stratégique. Les profils de croissance et de dividendes de la catégorie d’actif sont intéressants sur notre période de prévision de cinq ans. La faiblesse structurelle du dollar américain pourrait avoir une incidence positive modeste sur cette catégorie d’actif.
Les actions japonaises devraient, en théorie, constituer une occasion attrayante pour les investisseurs et un revirement de la dépréciation vertigineuse du yen et la poursuite du soutien monétaire et budgétaire pourraient pousser la catégorie d’actif à la hausse. Nous pensons que les investisseurs doivent rester attentifs aux signes indiquant que ces facteurs ont commencé à stimuler les rendements. Les facteurs structurels favorables aux actions japonaises comprennent les valorisations peu chères, la possible appréciation du yen, les progrès continus en matière de gouvernance d’entreprise et les programmes généreux de rachat d’actions. Malheureusement, ces facteurs sont contrebalancés par le profil de croissance anémique du Japon, qui se traduit par une position neutre à court terme, tout en conservant un biais positif sur une période de cinq ans.
Tout signe indiquant que Pékin serait disposé à abandonner certaines réformes susceptibles de fragiliser le sentiment du marché ou à assouplir sa politique du zéro COVID-19 pourrait déclencher une phase de hausse des rendements. Nous soutenons depuis longtemps que la croissance en Chine devra ralentir pour permettre au pays de passer d’un modèle de croissance axé sur la croissance industrielle à un modèle misant davantage sur la consommation. Nous nous attendons également à ce que le renminbi se déprécie au cours des trois à cinq prochaines années et sommes prudents quant au risque d’escalade des tensions géopolitiques — les récentes restrictions américaines sur les micropuces en sont un exemple. Par conséquent, nous restons neutres à l’égard de la catégorie d’actif.
Nos perspectives sur le revenu fixe
La réévaluation spectaculaire de l’univers des titres à revenu fixe pousse les investisseurs à reconsidérer le profil de rendement de la plupart des segments de cette catégorie d’actif. Paradoxalement, les rendements actuels et les contre-performances historiques de celle-ci sont autant de facteurs qui contribuent à rendre son profil de rendement de plus en plus attrayant. Cela étant, nous restons prudents quant aux risques de baisse inhérents à cette catégorie d’actif en raison de l’incertitude entourant le taux terminal des taux directeurs, ce qui justifie une légère sous-pondération à court terme. À plus long terme, nous continuons de penser que le profil de revenu d’autres catégories d’actif générant des revenus reste plus attrayant.
Nous redoutons que les écarts entre les titres du Trésor américain et le crédit se creusent au cours des prochains mois, à mesure que la situation économique se dégrade. Cela étant, dans une perspective à plus long terme, nous percevons toute faiblesse à court terme comme un point d’entrée intéressant dans cette catégorie d’actif au profil de rendement convaincant.
Les obligations américaines de catégorie investissement nous paraissent de plus en plus intéressantes pour les investisseurs, compte tenu du rendement de cette catégorie d’actif depuis le début de l’année. En plus de présenter un profil de rendement de plus en plus attrayant, la perspective d’une appréciation notable du capital des titres sous-jacents est devenue plus crédible pour la première fois depuis des années. Bien que nous pensions que les obligations à rendement élevé américaines présentent un profil de rendement plus attrayant que les obligations de catégorie investissement, il convient de noter que ces dernières peuvent servir d’outil pour allonger la durée du portefeuille des investisseurs. Nous pensons que le crédit de qualité supérieure peut constituer un choix attrayant pour les investisseurs cherchant à se protéger de la volatilité actuelle du marché.
Contrairement à ce qui se passe aux États-Unis, le fait que la Banque du Canada annonce clairement que les hausses du taux directeur sont en voie de diminution est de bon augure pour la catégorie d’actif, notamment en raison de son profil de rendement. Malheureusement, cette perspective est quelque peu assombrie par le fait que les taux des obligations du gouvernement canadien sont fortement influencés par l’évolution des titres du Trésor américain, dont la trajectoire reste un peu plus incertaine, ce qui justifie une sous-pondération à court terme. Les arguments que nous avons utilisés pour les titres à revenu fixe américains s’appliquent également ici, à une exception près : une appréciation du dollar canadien – qui, selon nous, se produira de façon structurelle – se traduira par un profil de rendement légèrement plus intéressant (par rapport aux titres du Trésor américain) tant en ce qui concerne la dette publique et les titres de créances canadiens, à plus long terme.
Nous nous attendons à ce que les taux d’intérêt européens et japonais restent à la traîne par rapport aux États-Unis. Selon nous, un retour progressif à la normale poussera inévitablement les taux à la hausse en Europe et au Japon, surtout dans le segment à long terme, ce qui devrait entraîner des difficultés sur ces deux marchés obligataires. Après un rajustement en fonction du taux de change, les titres à revenu fixe japonais nous semblent légèrement plus attrayants que les titres à revenu fixe européens. À court terme, nous avons maintenu une légère sous-pondération de ces deux catégories d’actif et nous avons adopté, à leur égard, une position neutre à long terme.
Nous continuons à surpondérer structurellement les obligations des marchés émergents. Sur le long terme, nous pensons que cette catégorie d’actif pourrait fournir parmi les meilleurs rendements totaux attendus, grâce au niveau relativement élevé des revenus attendus qu’elle offre. Nous notons toutefois qu’au vu des récentes corrections du marché, les disparités de revenu entre les pays développés et les pays émergents se sont quelque peu réduites, ce qui tempère légèrement le profil de rendement relatif des obligations des pays émergents. Nos anticipations d’affaiblissement du dollar américain à plus long terme sont également un facteur contributif. À plus court terme, nous pensons que la catégorie d’actif continue d’offrir un profil de rendement intéressant; toutefois, la possibilité d’un maintien de la vigueur du dollar américain et d’un ralentissement de la croissance des pays développés pourrait étouffer l’élan manufacturier mondial. Ces deux faits laissent entendre que la prudence serait de mise à court terme. Cependant, nous maintenons la surpondération de cette catégorie d’actif à long terme.
Nos perspectives sur les placements alternatifs et actifs réels
L’immobilier américain présente des valorisations favorables par rapport aux autres marchés développés, car l’activité économique, malgré le ralentissement en cours, continue de soutenir les données fondamentales. Comme évoqué précédemment, nous sommes d’avis que les rendements et les perspectives de croissance des dividendes pour la catégorie d’actif restent attrayants, malgré le contexte de ralentissement économique. Nous avons néanmoins conservé notre position neutre, compte tenu des perspectives divergentes des différents segments de ce marché. En effet, si les perspectives restent positives pour l’immobilier industriel, commercial et résidentiel, où les valorisations sont attrayantes et continuent de se redresser par rapport aux niveaux d’avant la pandémie, il n’en va pas de même pour les entrepôts en libre-service, les bureaux et l’hôtellerie, où la demande reste faible par rapport à l’offre, sous l’effet, en grande partie, des répercussions de la pandémie de COVID-19.
Bien que les prix du pétrole semblent s’être stabilisés dans une fourchette relativement large (entre 75 et 95 USD le baril), l’équilibre des risques à moyen terme reste fermement orienté à la hausse. Les vulnérabilités se concentrent sur l’équilibre délicat entre l’offre et la demande de pétrole brut, qui demeure incroyablement serré à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Cette situation s’est produite malgré l’engagement de la Chine à l’égard de sa politique du zéro COVID-19, qui a ajouté un brin d’incertitude au marché, compte tenu de l’appétit historique du pays pour le pétrole. Naturellement, le contexte actuel de vigueur du dollar américain influence également la dynamique d’ensemble de l’offre et de la demande. Les prix ont également été freinés de manière quelque peu artificielle par le recours important aux réserves stratégiques de pétrole brut des États-Unis.
Pour ce qui est des métaux, le prix du cuivre est resté stable, tandis que le prix de l’or reste fermement engagé sur une trajectoire baissière. Nous pensons que le prix de ces deux métaux pourrait tomber plus bas dans un environnement marqué par la poursuite du resserrement de la politique monétaire de la Fed et la faiblesse de l’activité économique mondiale. Les cours des matières premières agricoles restent bien soutenus grâce aux facteurs géopolitiques et aux défis opérationnels auxquels sont confrontés les principaux exportateurs de céréales.
Les sociétés d’infrastructures cotées en bourse sont devenues une catégorie d’actif de plus en plus intéressante dont nous pensons qu’elle mérite de l’attention dans une perspective de répartition stratégique des actifs. La catégorie d’actif constitue, selon nous, un choix intéressant en matière de revenus dans le contexte, jusqu’ici, de rendements faibles. Par ailleurs, l’amélioration des infrastructures constitue un axe politique commun aux gouvernements du monde entier, ce qui devrait être favorable aux rendements de la catégorie dans les années à venir. Au vu de la baisse récente des valorisations de la catégorie, ses rendements attendus en font un choix encore plus convaincant.
Renseignements importants
Une crise généralisée dans le secteur de la santé, comme une pandémie mondiale, pourrait entraîner une forte volatilité des marchés, la suspension et la fermeture des opérations de change, et affecter le rendement des fonds. Par exemple, le nouveau coronavirus (COVID-19) a considérablement perturbé les activités commerciales à l’échelle mondiale. Les répercussions d’une crise sanitaire ainsi que d’autres épidémies et pandémies qui pourraient survenir à l’avenir pourraient avoir des répercussions sur l’économie mondiale qui ne sont pas nécessairement prévisibles à l’heure actuelle. Une crise sanitaire peut exacerber d’autres risques politiques, sociaux et économiques préexistants. Cela pourrait nuire au rendement du portefeuille, ce qui entraînerait des pertes sur votre placement.
Les placements comportent des risques, y compris le risque de perte du capital. Les marchés des capitaux sont volatils et peuvent considérablement fluctuer sous l’influence d’événements liés aux sociétés, aux secteurs, à la politique, à la réglementation, au marché ou à l’économie. Ces risques sont amplifiés dans le cas des placements effectués dans les marchés émergents. Le risque de change s’entend du risque que la fluctuation des taux de change ait un effet négatif sur la valeur des placements détenus dans un portefeuille.
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